Page:Rosny aîné - La Jeune Aventureuse, 1928.djvu/173

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

X

— Tchin ! dit Marie avec impatience.

La bestiole pourpre volait follement au travers de la chambre, avec des cris éperdus… Elle s’arrêta. Tchin se posa sur la table, prit un air grave et considéra sournoisement la jeune femme…

— Qu’est-ce qu’il peut bien penser ? murmura-t-elle.

Elle ne pouvait s’empêcher de lui attribuer une manière d’intelligence malicieuse et hardie.

— Il pense que la vie est belle ! affirma Marcelle en riant.