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Page:Rosny aîné - Le Cœur tendre et cruel, 1924.djvu/251

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Et la victoire remplit sa poitrine ; un hymne chantait en lui, tandis qu’elle pleurait, envahie d’un regret obscur, heureuse toutefois, parce qu’il n’avait guère d’expérience et qu’avec un peu de ruse, elle saurait le retenir.