Page:Rostand - Les Romanesques, Charpentier et Fasquelle, 1911.djvu/11

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La scène est coupée en deux par un vieux mur moussu et tout enguirlandé de folles plantes grimpantes. À droite, un coin du parc de Bergamin ; à gauche, un coin du parc de Pasquinot. De chaque côté, contre le mur, un banc.

Quand le rideau se lève, Percinet est assis sur la crête du mur, ayant, sur son genou, un livre, dont il donne lecture à Sylvette, attentive, debout sur le banc, de l’autre côté du mur, auquel elle s’accoude.