Page:Rostand - Les Romanesques, Charpentier et Fasquelle, 1911.djvu/152

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Sylvette.

Enfin, comme je vois, tâté d’un vrai duel ?

Percinet, de même.

Qui me valut ce coup de peu s’en faut mortel.

Sylvette.

Et vous nous revenez ?…

Percinet

Et vous nous revenez ?…Fourbu, minable, étique !

Sylvette.

Oui, — mais ayant du moins trouvé du poétique ?

Percinet

Non, — je fus chercher loin ce que j’avais tout près !
Ah ! ne me raillez plus !… je vous adore.

Sylvette.

Ah ! ne me raillez plus !… je vous adore.Après
La désillusion que nous eûmes ?…