Page:Rostand - Les Romanesques, Charpentier et Fasquelle, 1911.djvu/93

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Bergamin.

Quoi ?Rien !

Sylvette, à Bergamin.

Quoi ? Rien !Alors, pourquoi prenez-vous cet air fin ?

Bergamin.

Mais, parce que…

À part.

Mais, parce que…Ho !… c’est agaçant, à la fin !

Pasquinot.

Quand on pourrait d’un mot…

Remontant.

Quand on pourrait d’un mot… Mais gardons le mystère !

Sylvette.

Quand on n’a rien à dire, il le faut bien, se taire !

Pasquinot, éclatant.

Rien à dire ! La folle ! Alors, vous croyez ça,
Que tout se passe ainsi que cela se passa ?
Qu’on envahit les parcs malgré les bonnes grilles ?…