Page:Roucher - Les mois, poëme en douze chants, Tome I, 1779.djvu/114

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En vain cet or perfide y germe sous nos pas ;
Vainement, il jaillit des veines des montagnes,
Se mêle aux eaux du fleuve, et parcourt les campagnes :
Vous fait-il oublier, barbares habitans,
Ce courroux annuel, ces combats des autans,
Par qui furent cent fois les plaines ébranlées,
Et du vieux océan les bornes reculées ?