Page:Roucher - Les mois, poëme en douze chants, Tome I, 1779.djvu/296

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Et m’orne des lauriers du chantre de Mantoue,
J’irai, tout rayonnant d’une noble fierté,
Les offrir à l’auteur de ma félicité ;
Et lui montrant l’envie à ses pieds étouffée,
À sa vertu modeste ériger un trophée.