Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/133

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Mais moi, triste orphelin, infortuné poëte,
Ainsi que l’Homme-Dieu,
Je n’ai pas une pierre où reposer ma tête !...
Ami, je meurs… adieu !

Adieu, frère jumeau !... Dans ta fraîche presqu’île,
Oh ! puisses-tu toujours,
Comme un ruisseau sans nom dans un désert tranquille,
Voir s’écouler tes jours !


(Paris, septembre 1838.)