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Oh ! comme alors le coeur s’inonde de tristesse !...
Heureux alors, heureux l’exilé de Lutèce.
Qui, l’âme émue, attend, au sol de son berceau,
Les baisers d’une mère, au sortir du vaisseau !
Oh ! comme alors le coeur s’inonde de tristesse !...
Heureux alors, heureux l’exilé de Lutèce.
Qui, l’âme émue, attend, au sol de son berceau,
Les baisers d’une mère, au sortir du vaisseau !