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Et le caïman seul, au rayonnant zénith,
Etend un dos cuivré que la vase brunit,
Et, sur un bois flottant, de sa gueule embrasée,
Aspire la lumière ainsi qu’une rosée.
Et le caïman seul, au rayonnant zénith,
Etend un dos cuivré que la vase brunit,
Et, sur un bois flottant, de sa gueule embrasée,
Aspire la lumière ainsi qu’une rosée.