Cette page n’a pas encore été corrigée
LE CHEVALIER.
Adieu donc, monsieur Carondas.
À Coronis.
Bonjour, mon ami.
À la Sourdière.
Eh, te voilà, vieux pécheur !
L’ABBÉ.
se réveillant et bâillant tout haut.
Ahi ! Ouf !
LE CHEVALIER.
Ah parbleu ! Petit Abbé, mon mignon, je ne vous voyais pas. Comment te portes-tu ?
L’ABBÉ.
Quelle heure est-il ?
LE CHEVALIER.
brouillant le jeu.
Ah ! Ah ! Messieurs, vous jouez aux dames.
LE PREMIER JOUEUR.
Morbleu, monsieur, cela ne se fait point ; vous avez tort. Attendez, Monsieur, j’avais gagné. Vous me devez une tasse de café au moins.
LE SECOND JOUEUR.
Oui ! Tarare.
Scène III
L’Abbé, Le Chavalier, Coronis, La Sourdière.
L’ABBÉ.
Dites-moi un peu, jeunes gens, Dorante n’est-il point venu ici pendant que je dormais ? En cas qu’il vienne, je vous prie monsieur Coronis, de lui dire