et au lieu de oui, qu'elle voulait dire, elle m'a toujours répondu non.
Il faut que j'aie fait la même impression sur le cœur de la mienne ; car elle m'a répondu de la même manière.
Je n'en ai jamais manqué une. Je n'ai besoin que d'un regard, d'un coup d’œil, je vous les ensorcelle toutes.
Vous verrez que ces vives impressions-là seront cause que nous ne les épouserons ni l'une ni l'autre.
La pudeur les retient, sur ma parole.
Cela se pourrait bien ; car j'ai ouï dire à la mienne, qui lit les romans, qu'Astrée ne déclara sa passion à Céladon qu'à la fin du cinquième volume.
Voilà le fait. Nous n'avons qu'à attendre. Elles y viendront tôt ou tard.
Je trouve la chose assez problématique et je voudrais, pour beaucoup, être éclairci de la vérité.