Page:Rousseau - Beaux-arts, 1824.djvu/131

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On voit dans les exemples précédents que je conserve les cadences et des liaisons comme dans la musique ordinaire, et que pour distinguer le chiffre qui marquer la mesure d’avec ceux des notes, j’ai soin de le faire plus grand et de l’en séparer par une double ligne perpendiculaire.

Avant que d’entrer dans un plus grand détail sur cette méthode, remarquons d’abord combien elle simplifie la pratique de la mesure en anéantissant tout d’un coup toutes les mesures doubles : car, comme la division des notes est prise uniquement dans la valeur des temps et de la mesure où elles se trouvent, il est évident que ces notes n’ont plus besoin d’être comparées à aucune valeur extérieure pour fixer la leur  ; ainsi la mesure étant uniquement déterminée par le nombre de ses temps, on la peut très bien réduire à deux