Aller au contenu

Page:Rousseau - La Profession de foi du Vicaire Savoyard, 1914, éd. Masson.djvu/11

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

l’Arciconfraternita dello Spirito Santo : M. Henri Gambini, secrétaire-adjoint de la Commission exécutive du Consistoire, M. Eugène Choisy, archiviste-bibliothécaire de la Compagnie des Pasteurs, M. Paul-E. Martin, archiviste d’État, à Genève ; M. le chanoine Rebord, supérieur de l’École de théologie catholique du diocèse d’Annecy ; MM. Gaston Letonnelier et Joseph Serand, archiviste et archiviste-adjoint de la Haute-Savoie ; M. E. Blochet, bibliothécaire au département des Manuscrits de la Bibliothèque Nationale. Des renseignements ou des suggestions utiles me sont venus aussi de MM. Gustave Lanson, Gustave Michaut, Daniel Mornet et Eugène Ritter : je leur en demeure très reconnaissant. On sait quel impeccable érudit est M. Théophile Dufour et quelles richesses encore inutilisées ce Rousseauiste éminent garde dans ses cartons. Je n’ai jamais fait appel en vain à sa science si sûre. Bien des notes de cette édition pourront en témoigner, et elles ne diront pas toute ma dette.

Je dois enfin des remerciements tout particuliers à M. Léopold Favre, qui conserve dans ses papiers de famille le premier brouillon de l’Émile. Non seulement il a mis son Manuscrit à ma disposition avec une confiance tout amicale ; mais, dans l’étude approfondie qu’il lui a consacrée l’an dernier, il a eu la gracieuseté de laisser en dehors de ses analyses la Profession de foi du Vicaire savoyard, pour ne pas déflorer mon édition. Qu’il veuille bien accepter, au début de ce livre, qui eût été impossible sans lui, l’expression de ma vive gratitude.


Fribourg-en-Suisse, le 15 Décembre 1913.
P. M. M.