Page:Roussel - Idées religieuses et sociales de l’Inde ancienne.djvu/4

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

ne le surprendra plus, j’en suis persuadé, et ce qu’il aura de mieux à faire sera de laisser, sans autre préoccupation, ses regards errer sur le spectacle aux cent faces diverses, sinon aux cent actes, que le poète, s’inspirant de son seul caprice, déroulera devant lui. Je disais, tout-à-l’heure, qu’il y pourra trouver quelque charme ; je vais plus loin et j’ose l’assurer que ce lui sera peut-être même de quelque profit, surtout s’il a soin de se placer au point de vue de la mentalité hindoue, si je puis ainsi parler, et de juger les personnes et les choses comme a dû le faire et comme l’a fait l’auteur de ce poème, quel qu’il soit, s’appelât-il légion.