mot « Nadir », par une portée à clé de sol montrant un ut aigu accompagné de trois f.
Faisant quelques pas, le malade entra, non sans crainte patente, dans la prison de forme cylindrique s’offrant à lui.
La porte fut fermée à double tour, et le barreau à serrure, auquel, pendant un moment, avait manqué dans le sens de la longueur, d’un cercle de fer à l’autre, une portion de lui-même, se retrouva complet.
Emportant la clé, l’aide, au pas de course, alla vers l’artiste, encore occupé à sa statuette.
En franchissant directement du regard, à partir du malade emprisonné, un espace de trois mètres environ vers la droite, parallèlement au mur de verre, on trouvait, dressée verticalement suivant un plan perpendiculaire au parcours effectué, une immense lentille ronde, qui, juste aussi haute que la grille circulaire, avait son bord entier pris dans un cercle de cuivre soudé en bas au point central d’un disque de même métal solidement appliqué au plancher par de fortes vis.
Intrigués par une source lumineuse existant derrière elle, nous reculâmes de deux pas et