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geaient en gravissant la montagne, étaient à l’intérieur autant de palais.

Il est impossible aujourd’hui de se faire une idée juste de l’aspect que devaient offrir toutes ces merveilles, dans la surabondance de leur vie, et dans l’apogée de leur splendeur ; et quand on se représente le luxe, les richesses, les beautés artistiques que ces palais renfermaient, et la multiplicité variée des jouissances qui formaient la vie des rois maures, des sultanes et de leur entourage, on a le vertige.