Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/34

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“ Ma mère, dit-elle, puisque c'est une ♦A résolutiopipnse et;quç mon père le veut 41 absolument, jeme crois obligée, d'obéir “j * sa volonté .^et à la vôtre ; mais si 4* Dieu me fait; la grâce de me donner un

  • ’dlls, je lui promets dès à présent de le

44 consacrerfàjson service ; et si, ensuite, “ il me rend la liberté que je vais pc;*r- “drejjelui promets de m’y consacrer “ moi-même. * \ ^ •\t-,\t» ^ ; y { ; • , Les contradictions et r les ; invraisem biances que: ce récit contient ;sont pour le moins singulières. Il est étrange que cette jeune fille, qui se sent uno vocation irrésistible^] n’oso pas élever la voix,, et plus étrange encore qu'elle se marie avec un secret dôsir de redevenir libre.. Plus tard, lorsqu’elle est mère, sa con¬ duite à Tég-ard de rson fils est aussi ihex: .plicabIe,xet pour ma part je ne puis a^oun ter for au récit ) do sa séparation d’avec son, fils, et du discours , 6olei\ el qu’elle lui adresse â coïte,occasion. • y\ y.> Vyû Ou l’historien a, été trompé, ou bien il a omis,des faits qui justifierait ceux qu’il xpoontç* lcnose:,remarquable, ^ c’est qu'ii^aûtiayoireuv'à lour de cacher <^n*tamment la pâture <spus le • surnatu¬ rel Dans Marie de i’Incarnation, il n’a pas montré la jeune fille, ni l’épouse, ni