Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/39

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— 39 — w - ver à la gloire de la Mère de l'incarna* nation. Mais, l’âbbé Casgràin s’est laissé emporter par sa fougueuse imagination et ira noyé sa pensée^ dans soixante dix pages d’une amplification de rhéteur. . Je conclus que M. l’abbé Casgrain fera bien de méditer ce petit passage de Féné» Ion : u L’hxstoire perd beaucoup à être u parée. Ùn bel esprit méprise une his- “ toire nue ; il veut l’habiller, l’orner de u broderie et la friser.' C’est une erreur.” Et aùss* ces lignes de.Mgr. Dnpanloüp : “ Combien il est déplorable, quand or u lie voudrait voir devant soi qu’un saint, Lm de sè trouver en face d’un écrivain qui s’évertue’a faire dès"phrases,'àf farder, a pour ainsi dire, à friser ces grandes u figures f :n\tTVir:;* Je crains' de’ tomber' ^ahs la même o; et dirai qu’un- motir\t^\t' Jjÿ rètrônve Fécrivàin(Wujoüri lé mèrrié £\timparfait^ brillant, saris êtrè^sgir^ soupleVmais ^as^ap^ùè1ni‘'j^alin',‘-cSafôk yanfmàis peu' varié;!' ' ‘ Les savants nous ahurissent de?'leurs îiibies et de: lcii^ tèchhicqlogié. -M."C!a&- grain uous: impose’quelquefois un'.enùûi