Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/44

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les sympathies politiques, ont déteint sur d’historien et '.changée ses idées, ^11 [est bien regrettable.^ u*ii ait glissé sur çqtte pente, quii’a déjà conduit à des déclama¬ tions creuses et fausses.:,; Vf < ' rR :;i *; û C’est ainsi rqué,1 dans la biographie de M. de Laterrière, il a pu écrire les lignes suivantes : “ Les hommes ambitieux qui u triomphent aujourd’hui sur la ruine de u lâ chose publique, et que l’histoire inex- lCi- orablë manquera au: front d’un ferrou- ge, ixç pureht jamai# trouver.emlui/un “ instrument servile. %;r. Ces hpmmes sont u parvenus un instant à égarer; d'opinion “publique; mais: quajrante années coi)sé & çutives de rd^é voueméht à> la patriCiqfor- u mtzM uh monument de ?gra;nit ^ntre dl lequel viendront se' briser lies plumes iL [stipendiées qui auraient voulu ? le'; dé .\t\hirç l:i 'u;phé;n/.'l tu- o!> On pardonnerait ces tirades déni âge giques à M. L. H. Fréchette ou :à rM. pessaulîes ;; «mais elles sont déplacées dans- lai bouche" du premier vicaire de Notre DameÜ&Qûébec.r il snaq noid ■Ve> Ces tendances politiques dri’abbé fias grainet une:* ‘certaine? irifalité oliftéraire ont été causé qu’il n’Ju pâg /été {Juste r à l'égard de M: Chauveau., Sa critique est mesquine et manque d’impartialité. J’au-