Page:Rowen - La lyre canadienne, 1886.djvu/250

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241- Rien que la brise du matin Qui passe frémissante. Endors, endors ta pauvre 4me souffrante, Repose, enfant, jusqu'à demain. -Non, non, ce n'est pas un chant de la terre Que j'entends, que j'entends, bonne mère. Ah? o'est la voix! c'est la voix d'un ange murmurant Un doux chant qui m'appelle ! Et je m'envole sur son aile, Bonsoir, mère, bonsoir, je suis le ahant, Je suis le chant, Un ange murmure un ehant qui m'appello, Moi je m'envole, je m'envole sur son aile. Adieu ! mère, adieu! Je m'envole sur son ailo, Adieu! ma mère, adieu ! Je suis le chant, je suis le chant, Je suis le chant, je suis le chant, Je suis le chant, je suis le cbhant, LES ADIEUX DE PARIS Air connu. DIEU, Paris, adieu, A Adieu, cité, adieu, reine des villos, Je fuis les plages viles Où l'on pourrait, où l'or pourrait renier Diou. Faudrait-il dono, pauvre Marie, T'abandonner au moment d'être à toi, Dans ce Paris od tout s'oublie, Marie, au soldat garderas-tu ta foi. Va, pars sans orainte, en quittant le saint lieu,