Page:Rowen - La lyre canadienne, 1886.djvu/354

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-345- Parlé,-Vous résistez ! Ah ! vous manquez à votre supérieur! Vite au Conseil de guerre ?.. C'est encore moi qui suis le conseil de guerre. Ran, plan, plan, etc. EPILOGUE. QU'EST-CE QUE LE CHANT ? E chant, c'est le baumo de l'âme, L Quand l'ame est pleine de douleurs; C'est le ori d'amour de la femme; C'est l'écho de la voix, le dictame, Que Dieu fit pour charmer les ceurs? L' C'est l'adieu qu'on jette au rivage, Quand, quittant le pays natal ! On voit dans un loiutain voyage, Un heureux ou pâle piésage, Fortune, honneur ou sort fatal ? ! C'est le bruit qu'en la puit sereine On entend couir sur les flots; C'est la lame battant l'a: ène; C'est le vent dont la tiède haleino Endort les juyeux mutelots ?, C'est le plaisir daus la souffrance; Dans l'angoisse o'ent la gaîté; C'est une douce souvenance De bonheur, d'amour ou d'enfance; C'est l'espoir, o'est la volonté,