mantes fleurs sculptées tout en travers de l’herbe. Au-dessus, le Cancer avec ses écailles superbement modelées.
51. Juillet. — La moisson. Très beau. Le Lion souriant complète la démonstration que toutes les saisons et tous les signes sont regardés comme une égale bénédiction et providentiellement bienfaisants.
50. Août. — Battant le blé[1]. La Vierge au-dessus, tenant une fleur, sa draperie très moderne, et confuse pour un travail du xiiie siècle.
49. Septembre. — Je ne suis pas sûr de son action soit qu’il émonde ou que d’une manière quelconque il cueille le fruit de l’arbre plein de feuilles[2]. La Balance au dessus ; charmant.
48. Octobre. — Foulant la vendange[3]. Le Scorpion une figure très traditionnelle et douce avec une queue fourchue, il est vrai, mais sans aiguillon.
47. Novembre. — Semant, avec le Sagittaire ; à moitié caché quand cette photographie fut prise grâce au bel arrangement qui règne maintenant sans interruption, que ce soit pour un travail ou pour un autre, dans les cathédrales françaises ; ils ne peuvent jamais les laisser tranquilles dix minutes.
48. Et maintenant, pour finir, si vous vous souciez
- ↑ En août la moisson continue au portail nord de Chartres, à Paris, à Reims. Mais à Senlis, à Semur, à Amiens, on commence déjà à battre (ibid., p. 99). — (Note du Traducteur.)
- ↑ Dans d’autres cathédrales on commence déjà la vendange. La France du moyen âge paraît avoir été plus chaude que la nôtre (ibid., p. 100). — (Note du Traducteur.)
- ↑ À Semur, à Reims, pays de vignes, c’est la fin des travaux du vigneron. À Paris, à Chartres, c’est le temps des semailles. Le paysan a déjà repris le manteau d’hiver (ibid., p. 100). — (Note du Traducteur.)