personnage allégorique, p. 425, t. II ; — détails sur elle, ib. ; — id. en note.
Naimes ou Naimon de Bavière, héros du cycle carlovingien. Nommé p. 107, t. I ; — détails sur sa famille, sur ses exploits, sur le rôle qu’il joue dans le Roman de Berthe, ib., en note.
Nevers (le comte Robert de). Allusion à ce prince, p. 114, t. I ; — id., p. 138.
Niceroles. Mot qui vient de nice, niceté (simple, simplicité), p. 150, t. 1 ; — donné dans un sens allégorique comme titre d’un poëme et comme nom d’une ville, p. 440, t. II.
Nicolas de Bar-sur-Aube, compagnon de Guillaume de Saint-Amour, p. 386, t. I.
Noble (le Lion). Désigne le roi, p. 196, 197, 198, 199, t. I.
Nonnains. Il y en avait de blanches, de grises et de noires ; — reproche d’immoralité que leur fait Rutebeuf, p. 242, t. I.
Ogier, paladin des romans carlovingiens. Nommé p. 106, t. I. ; id., p. 224.
Ordres religieux. Pièce sur les ordres religieux en général, et sur ceux de Paris en particulier, p. 158, t. I ; — il y en a qui ont des cottes grises, d’autres qui n’ont pas de chemises, ib. ; — pièce intitulée La Chanson des Ordres, p. 170 ; — il y a tant d’ordres que Rutebeuf ne sait qui les inventa, ib. ; — pièce sur les ordres religieux, p. 441.
Orgueil. Appelé allégoriquement par Rutebeuf le gendre de Félonie, p. 28, t. II.
Philippe-le-Hardi. Ce prince est nommé p. 138, t, I ; — allusion à son expédition d’Aragon en 1285, p. 235 ; — allusion supposée à sa libéralité, p. 285.
Orléans (les écoles d’). Dissension entre elles et l’Université de Paris, p. 415. t. II.
Orri (maître). Nommé dans la complainte de Rutebeuf sur son œil, p. 18, t. I ; — détails sur ce personnage et rapprochement avec un autre passage de Rutebeuf, ib. ; —