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Page:Sébillot - Contes des landes et des grèves.djvu/226

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autre lui tira un œil et le mit à la place de celui du chat. Le troisième lui enleva le cœur et le mit à la place de celui du cochon.

Depuis ce temps, le médecin qui voyait à travers les murailles, y voyait en jour, et pas la nuit ; le bras ne voulait plus voler ; mais le médecin qui avait le cœur de la jeune fille devint curieux et bavard comme une femme.


(Conté en 1883, par J.-M. Comault, du Gouray.)