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Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/119

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aussi rouges que des cerises et d’une forme délicieuse, cachant dans leur sein l’amoureux petit organe du plaisir appelant le baiser. Ainsi, la chaude petite gamine était sortie pour retirer le pantalon qu’elle portait au début de la leçon ! C’en était trop pour la vertu du professeur. Pris d’un désir irrésistible, Claude se jeta comme un fou sur le corps de la petite fille qu’il porta sur un sofa et colla ses lèvres entre les cuisses, à cet endroit troublant du sexe, la baisant, la suçant, passant sa langue dans toute la longueur de la petite fente et branlant son clitoris tout raidi, jusqu’à ce que l’enfant, qui s’agitait nerveusement et se cambrait sous son étreinte luxurieuse, arrivât enfin à la minute suprême de la jouissance et demeurât toute pâmée.

Claude était à peine remis de son émotion que Marguerite, un peu gênée, lui demanda tout bas de bien vouloir lui laisser voir son sexe à son tour. Comme il hésitait à répondre à cette demande imprévue, la précoce fillette s’installa entre ses jambes et se mit en devoir de faire sauter les boutons de sa culotte. Elle arriva non sans peine à en faire sortir le membre raidi.

Alors elle s’extasia devant cette chose nouvelle pour elle, prenant les testicules et les roulant dans ses mains, caressant tout le membre qui se dressait