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Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/126

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fillette et une tiède rosée mouilla les lèvres de la petite Jeanne avant qu’elle ait eu le temps de se retirer. Elle aussi, au même moment, atteignait au dernier degré du plaisir, et elle retomba sur son oreiller, ivre de volupté.

Ces scènes se répétaient souvent et se variaient à l’infini. Marguerite fut une véritable initiatrice pour les gamines du pensionnat qui ne demandaient qu’à s’instruire dans ce joli jeu d’amour, et quand elle revint au château de Messange, aux vacances d’août, il n’y avait guère d’élèves de sa classe dont elle n’eût peloté le petit cul, branlé le clitoris et léché la fente dans une délicieuse minette.