Aller au contenu

Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/133

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
111

bas et s’attachant surtout au petit monticule de la partie supérieure. Mais bientôt son émotion augmenta ; Claude, qui s’était glissé entre ses cuisses, dardait avec ardeur sa langue et ses lèvres sur ses parties intimes ; il léchait la mignonne vulve dans tous ses replis, suçait les jolies lèvres qu’il prenait à pleine bouche et s’acharnait surtout sur le petit bouton d’amour, très développé chez Claire, et qu’il mordillait avec une sorte de rage amoureuse de bête en rut, longtemps comprimée dans son ardent désir et enfin lâchée, qui se saoule de jouissance.

Claude, en effet, semblait avoir perdu toute prudence, toute crainte de réveiller la jeune fille. Fou de passion, il avait saisi ses cuisses à pleines mains, rabattant complètement et enlevant le pantalon qui le gênait et de sa langue brûlante lui léchait toute la vulve avec une véritable furie ; ses mains maniaient avec volupté les fesses de la jolie fille, qui s’agitait nerveusement sous cette luxurieuse étreinte et sous ces caresses de la langue inconnues d’elle. Une délirante sensation de plaisir lui secoua tout le corps ; elle arrivait à la jouissance suprême et était en proie à un spasme voluptueux qui lui fit perdre tout sentiment de la réalité et lui arracha de véritables cris de jouissance.