Aller au contenu

Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/144

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
122

les mouvements du ventre plus accentués ; elle ressent dans tout son être l’effet extraordinairement voluptueux et exquis de cette intime caresse. Claude, sans s’arrêter un seul instant, précipite ses légers coups de langue ; il sent, au frémissement des jambes de sa jolie maîtresse, la jouissance proche ; aussi, pour la rendre plus vive, il relève la fine peau rose qui protège le bouton d’amour et continue sur le clitoris même, tout raidi, ses savantes caresses de la langue, tandis que, doucement, il enfonce un doigt dans l’étroit vagin et le fait aller et venir comme en l’amoureux combat.

Claire n’y tient plus ; une volupté intense l’envahit et fait vibrer tout son être ; elle pousse des exclamations de jouissance, son corps se raidit, ses cuisses serrent nerveusement la tête de Claude et un liquide chaud sort de sa vulve excitée, la mouillant toute ainsi que la figure du jeune homme, qui a voulu continuer jusqu’au bout son amoureuse besogne.

Claude alors se dégage rapidement et, disposant sur le lit son amie toute pâmée, se met au-dessus d’elle et fait pénétrer doucement son membre rigide dans l’ouverture vaginale toute mouillée de la jouissance. Il se penche sur elle et la serre dans ses bras, ses lèvres sur les siennes. Claire revient à elle