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CHAPITRE XII
CONCLUSION
laire avait une nature trop chaude, trop
vibrante, trop passionnée pour ne pas recommencer
souvent par la suite, avec sa jolie
femme de chambre, de si voluptueux exercices. Elle
était devenue très experte, elle-même, à faire
minette à sa bonne et prenait le plus grand plaisir
à la faire pâmer sous ses caresses. Cette liaison
féminine fut, du reste, pour la jolie fille, d’un grand
secours pour l’aider à supporter une séparation qui
eut lieu quelques mois après et qui, pour être
connue et attendue, ne lui occasionna pas moins