Aller au contenu

Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/169

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
141

CHAPITRE XII

CONCLUSION


Claire avait une nature trop chaude, trop vibrante, trop passionnée pour ne pas recommencer souvent par la suite, avec sa jolie femme de chambre, de si voluptueux exercices. Elle était devenue très experte, elle-même, à faire minette à sa bonne et prenait le plus grand plaisir à la faire pâmer sous ses caresses. Cette liaison féminine fut, du reste, pour la jolie fille, d’un grand secours pour l’aider à supporter une séparation qui eut lieu quelques mois après et qui, pour être connue et attendue, ne lui occasionna pas moins