Aller au contenu

Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/77

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
63

approchait-elle pour Germaine ; on le sentait au gonflement de ses organes, à ses mouvements plus précipités, à son étreinte plus nerveuse, au redoublement de caresses qu’elle donnait à la verge de Claude qu’elle engloutit toute dans sa bouche.

Soudain elle poussa une exclamation sourde et s’arrêta net. En même temps Claude sentit sa figure se mouiller. Loin de se retirer, il serra entre ses lèvres la vulve parfumée et aspira le liquide amoureux qui s’en échappait. Lui-même était arrivé au dernier degré du plaisir et, sentant le spasme suprême arrivé chez son amie, il s’abandonna à son tour et remplit la bouche de la gentille femme de son sperme brûlant. Germaine, qui adorait la blanche liqueur d’amour, se gardait bien de desserrer les lèvres ; serrant la verge de la main pour arrêter l’élan du sperme chaud, elle ne le laissa s’échapper qu’un peu à la fois, prolongeant ainsi la jouissance de son ami, et elle l’avala par petites gorgées sans en perdre une seule goutte.

S’ils furent heureux tous les deux de cette aventure et de la délirante volupté qu’ils venaient ressentir dans les bras l’un de l’autre, il serait superflu de le dire : Germaine, enchantée de posséder un amant si gentil, le couvrit de baisers et de tendres caresses. Elle déshabilla Claude et le mit à