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Page:Ségalas - Les Oiseaux de passage, 1837.djvu/179

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Comment me délivrer de cette fièvre ardente ?
Mon sang court plus rapide et ma main est brûlante ;
Je souffre ! dites-moi, je suis mal, n’est-ce pas ?
Souvent, le front penché, l’œil baissé vers la terre,