Page:Ségalas - Les Oiseaux de passage, 1837.djvu/201

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Morte ! sa joue est pâle et sa bouche livide[1] !
Je ne sens plus son cœur ni son haleine humide ;
Son pauvre petit corps est glacé dans mes bras !
Toi, mon enfant, mon âme, insensible, ombre vaine,

  1. Une petite fille qui venait de mourir du choléra a fourni le sujet de ces vers.