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Page:Ségalas - Les Oiseaux de passage, 1837.djvu/291

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ADIEUX À VENISE.

romance.

Adieu, la magique ville,
Caprice de l’univers ;
Venise, flotte immobile,
Venise, perle des mers !
Adieu, tes flots qui soupirent,
Tes chants amoureux du soir,
Et tes palais qui s’admirent
Dans un onduleux miroir !