Page:Ségalas - Les Oiseaux de passage, 1837.djvu/7

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I.
J’étais, au cimetière, et j’y rêvais un soir,
Regardant les tombeaux et les croix de bois noir,
Et tous les noms gravés, noms de cendres humaines !
Je marchais au milieu, de deux files de morts,