Page:Ségur - Aprés la pluie, le beau temps.djvu/153

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M. Dormère.

N’y pensez plus, ma cousine, je vous en prie ; Geneviève y aura gagné de passer une heure de plus avec ses amis et de faire une charmante petite promenade en compagnie de sa bonne et de son cher Rame. Elle n’est pas si à plaindre.

Mademoiselle Primerose.

Non, mais je n’en suis pas moins coupable ; oublier votre nièce !

M. Dormère.

Vous ne l’oublierez pas une autre fois. »

M. Dormère prit le bras de Mlle Primerose et la mena dans un joli appartement ayant vue sur la rivière et le parc ; il y avait un salon, une chambre à coucher avec cabinet de toilette et une chambre pour la femme de chambre avec armoires à robes, à linge et tout ce qu’il fallait pour serrer toute espèce de choses.