Tiens ! si vous me l’aviez dit, je n’aurais pas dit non, moi ; seulement, je n’avais pas le temps pour le moment, puisque M. Valentin vient de me donner une commission.
Mes enfants, ne jouez pas à ce jeu-là, c’est un mauvais jeu.
Pourquoi, monsieur le curé ?
Parce que M. Valentin est dans la maison ici près, qui donne sur la cour, et qu’il pourrait vous entendre.
Qu’est-ce que ça fait ça ?
Ça fait qu’il aurait de la peine, et vous ne voudriez pas lui faire de la peine, à lui qui a toujours été bon pour vous.
Et qui nous a donné de si bons conseils.
Ah bah ! un forçat, ce n’est pas si délicat !
Tout comme un autre, et plus qu’un autre ! Et ce que tu dis là, Julien, est très mal. (Les enfants se dispersent et vont jouer plus loin. Désiré sort.)