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XXIX
Le Général se loge et s’établit
Les jours, les semaines se passèrent ainsi, tranquilles et heureux. Le caractère de Félicie, quoique amélioré, grâce à l’influence de Gertrude, apportait seul quelque trouble dans les parties de plaisir et les occupations quotidiennes des enfants ; les rechutes étaient fréquentes et graves parfois ; la bonne Gertrude ne se décourageait pas.
Après le retour de M. et de Mme de Soubise des eaux des Pyrénées, Gertrude tint moins souvent compagnie à Félicie, pour ne pas quitter sa mère, qui s’occupait elle-même de l’éducation de ses filles. La tendresse et la soumission de Gertrude pour sa mère eurent une heureuse influence sur Félicie ; Mme d’Orvillet la trouvait de plus