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madame des ormes.
Pourquoi attendre ? Si l’un est charmant et l’autre original, comme dit notre sœur, je veux les avoir chez moi ; ils nous amuseront. »
M. des Ormes garda le silence, comme d’habitude, devant l’opposition de sa femme. Elle courut dans sa chambre pour préparer sa toilette du lendemain.
Elle ne songea pas à Christine, mais M. des Ormes prévint la bonne qu’ils emmèneraient Christine avec eux. Les yeux de Christine brillèrent : elle eut peine à contenir sa joie ; sa bouche souriait malgré elle, et ses joues s’animèrent d’un éclat extraordinaire ; mais la présence de sa bonne arrêta