Page:Ségur - Jean qui grogne et Jean qui rit.djvu/395

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M. Abel.

Ne vous en affligez pas, Julien : vous n’y perdrez rien ; c’est vous que je charge de la recherche. Et assurez-vous que la bête soit bien soignée ; que votre frère ne la quitte pas et la mène doucement ; qu’elle ne souffre pas.

Le cocher.

Quant à ça, Monsieur peut être tranquille ; mais c’est une vraie pitié ce que monsieur fait là.

M. Abel.

La bête ne s’en portera que mieux, je vous en réponds. »

Et M. Abel entra chez les Amédée.