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Page:Ségur - L’auberge de l’ange gardien.djvu/164

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L’AUBERGE DE L’ANGE-GARDIEN.

à contempler la sienne, à l’écouter marcher, mais qu’elle ne voulut pas non plus s’en séparer et qu’elle s’endormit en la tenant dans ses mains. Bien plus, madame Blidot et Moutier firent comme Jacques et Paul ; et, à leur réveil, leur premier mouvement fut de reprendre la montre et de voir si elle marchait bien.