Page:Ségur - L’auberge de l’ange gardien.djvu/75

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
69
L’AUBERGE DE L’ANGE-GARDIEN.

Tantôt c’était une longue course à faire à la fin du jour, quand la fatigue d’un travail continuel le rendait incapable d’accomplir une longue marche ; Jacques alors obtenait de madame Blidot la permission de faire la course pour Torchonnet, tandis que celui-ci se reposait au pied d’un arbre et mangeait les provisions que lui envoyait madame Blidot.


Torchonnet dévorait le pain et la viande.