Page:Ségur - Le général Dourakine.djvu/135

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qu’elle eût séché ses larmes ; elle s’élança de son lit, passa en toute hâte de l’eau fraîche sur ses yeux bouffis, lissa ses cheveux, arrangea ses vêtements et alla au salon, où elle trouva le général avec Mme Dabrovine et ses enfants, qui jouaient avec leurs cousins et cousines.


Elle tomba sur son lit en sanglotant.

« Nous vous attendons, Maria Pétrovna, dit le général en s’avançant vers elle et lui offrant son bras. Natalie, je donne le bras à ta sœur, quoique