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dernier petit, qu’on venait d’éveiller et de sortir de la berline, se mit à crier, à se débattre.
« Je ne veux pas, s’écriait-il. Il me battra, il me fouettera ; je ne veux pas l’embrasser ! »
La mère prit l’enfant, lui pinça le bras et lui dit à l’oreille :
« Si tu n’embrasses pas ton oncle, je te fouette jusqu’au sang ! »
« Approchez, enfants, venez baiser les mains de votre oncle. (Page 44.) »
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Le pauvre petit Ivane retint ses sanglots et tendit au général sa joue baignée de larmes. Son grand-oncle le prit dans ses bras, l’embrassa et lui dit en souriant :
« Non, enfant, je ne te battrai pas, je ne te fouetterai pas ; qui est-ce qui t’a dit ça ?
Ivane
C’est maman et Sonushka. Vrai, vous ne me fouetterez pas ?
Le général
Non, mon ami ; au contraire, je te gâterai.
Ivane
Alors vous empêcherez maman de me fouetter ?