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verrou de la croisée, la poussa, elle s’ouvrit ; Fritz sauta dans la chambre, le postillon le suivit, et ma tante, qui avait peur de rester seule, entra aussi. La lune éclairait parfaitement ; on put voir que la chambre était vide ; ils ouvrirent une porte, puis une autre, sans trouver personne ; dans une troisième chambre ils virent des baquets, du linge mouillé qui venait évidemment d’être lavé.
Elle se trouvait entre un ours et un loup. (Page 331.)
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« C’est, dit ma tante, le linge des gens qu’ils ont assassinés. »
Ils montèrent au premier étage, poussèrent une porte ; elle était fermée.