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XIII
LES LOUPS
Sophie n’était pas très obéissante, nous l’avons bien vu dans les histoires que nous venons de lire ; elle aurait dû être corrigée, mais elle ne l’était pas encore : aussi lui arriva-t-il bien d’autres malheurs.
Le lendemain du jour où Sophie avait eu quatre ans, sa maman l’appela et lui dit :
« Sophie, je t’ai promis que, lorsque tu aurais quatre ans, tu viendrais avec moi faire mes grandes promenades du soir. Je vais partir pour aller à la ferme de Svitine en passant par la forêt ; tu vas venir avec moi ; seulement fais attention à ne pas te mettre en arrière ; tu sais que je marche vite, et, si tu t’arrêtais, tu pourrais rester bien loin derrière avant que je pusse m’en apercevoir. »
Sophie, enchantée de faire cette grande prome-