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XXI
giselle quitte le couvent et redevient tyran — julien entreprend de la réformer
Lorsque l’époque des vacances arriva, elle quitta le couvent sans témoigner ni regret ni affection à personne. Elle se trouvait suffisamment instruite ; elle ne s’y amusait plus autant, elle espérait mener une vie plus gaie, plus agréable à la maison. Le bonheur qu’elle témoigna à son père, quand il vint la chercher, émut profondément M. de Gerville.
« Léontine avait raison, pensa-t-il : le cœur de ce cher ange s’est enfin ouvert pour nous. »
Quand Giselle arriva, elle fut reçue à cœur et à bras ouverts par sa mère, ses oncles, ses tantes,