qui entrait ; de quoi parliez-vous donc avec Giselle ?
Nous causions d’une petite fée lutine qui est en guerre avec deux génies bienfaisants, que la petite fée métamorphose en malfaiteurs.
La petite fée a donc une puissance plus grande que celle des génies ?
Cela dépend d’une certaine poudre avec laquelle elle aveugle les gens qui croient y voir clair.
Vous parlez un peu en énigmes, mon ami. Mais moi, j’ai à vous parler sérieusement. Giselle, va chez ta bonne, ma petite chérie ; j’irai te chercher dans une heure.
Oh ma petite maman, laissez-moi ici je vous aime tant.
Mon cher amour, j’ai quelque chose à dire que tu ne dois pas entendre ; je t’en prie, va chez ta bonne.
Oh ! je sais bien ce que vous voulez dire à mon bon ami que j’aime tant ; vous voulez lui parler de mon oncle et de ma tante. »