Page:Sénèque - Œuvres complètes, Tome 3, édition Rozoir, 1832.djvu/81

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Néron, dans sa lettre au sénat, à l’occasion de l’assassinat d’Agrippine, que la mort de cette princesse était un bonheur public (publica fortuna extinctam[1]). Le traité de la Clémence prend place, par sa date, entre ces deux écrits. On examinera si ce rapprochement favorise l’opinion de Diderot ou la mienne. V.

Traducteurs français de ce traité : Chalvet, Du Ryer, un anonyme, 1669, La Grange. C. D.




  1. Tacite, Annales, liv. XIV, ch. 11.