Page:Sénèque - Tragédies, trad. Greslou, 1834, t. 2.pdf/335

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

s’ouvre pour moi à travers le ciel ; deux serpents ailés se courbent sous mon joug et s’attellent à mon char. Tiens, reçois tes enfants, et moi je m’envole à travers les airs.

Jason

Oui, lance-toi dans les hautes régions de l’espace, et proclame partout, sur ton passage, qu’il n’y a point de dieux.